San Lameer Country Club, Southbroom, KwaZulu-Natal South Coast
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20 février, tour 2: Jane Turner auteur d’un des deux scores sous le PAR du jour reprend les commandes des mains de Cara Gorlei qui d’une journée piquetée de bogeys s’est mise sous la menace de Maria Beautell et Kim Williams.
Trou en 1 au 9 pour Emie qui va malheureusement le payer de 2 doubles et reculer en T13. Julie est en T21 en compagnie de LaBarbera.
19 février, tour 1: L’Écossaise Jane Turner, d’un vilain double au 18, va abandonner le banc de conduite de l’attelage qu’elle partageait avec la native du Cap Cara Gorlei. Emie Peronnin suit en T6 en compagnie de Bianca Lohbauer (a), Julie Berton en T9.
18 février: Lejan Lewthwaite, la tenante du titre, n’est pas là pour le défendre; on y retrouve les Françaises Julie Berton, Emie Peronnin et l’amateur Sud-Africaine native de Paarl, sortie de Troy en mai dernier, Bianca Lohbauer
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Un peu d’histoire, le parcours du San Lameer Country Club.
Le terrain fut attribué par l’Etat en 1938 au Colonel G.H. Langeler qui créa une réserve naturelle pour préserver faune et flore. Un succès, puisque de nos jours on dénombre près de 200 espèces, dont une multitude d’oiseaux et de mammifères, tels que les antilopes d’Afrique, impalas, duikers (rouge, bleu ou gris), reedbucks ou burshbucks.
En 1975, Le géant sud-africain de l’assurance et des services financiers, Sanlam, agissant en tant que promoteur fit l’acquisition de la propriété du Colonel.
En 1977, San Lameer devenait un canton privé et offrait un centre de vacances pour les Sud-Africains les plus aisés.
En 1990, la Sanlam procédait à un remembrement avec échange de terres pour dégager l’espace nécessaire à la construction d’un parcours de golf dont la conception était confiée à la société « Matkovich & Hayes », une entreprise fondée par deux anciens Pros de Golf, le Zimbabween Peter Matkovich et le Sud-Africain Dales Hayes. Le parcours fut ouvert le 7 novembre 1992.
Le parcours est inséré dans la dernière forêt humide de la côte sud, pour le tracer de nombreux arbres durent être supprimés, ils furent remplacés et mariés pour le plus grand bonheur de la faune avec des espaces d’herbes indigènes luxuriantes.