Nous avons la chance d’avoir un Letas au calendrier bien garni. Et même si les dotations sont limites, le sacrifice financier peut-être compris et accepté dès lors que le circuit débouche sur une solution de continuité attrayante.
Malheureusement le LET traverse une période difficile où:
- Il ne compte qu’une vingtaine d’épreuves et seulement une grosse dizaine en Europe (en comptant le Maroc).
- Il présente des interruptions de 2, 3, voire 4 semaines, parfaitement incompatibles avec le sport de haut niveau et aussi synonymes pour certaines participantes de précarité financière.
La vieille Europe engluée dans ses querelles d’une autre époque semble avoir oublié que le sport est un acteur déterminent dans la partie d’échecs intercontinentale moderne qui se déroule sous nos yeux.
Mais peut-être n’est-ce qu’une poussée passagère de pessimisme développée par votre serviteur…